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Il cherche des lieux que la mémoire explore avant l’installation des beaux-arts à l’académie universitaire, avant l’invention du post-modernisme et avant l’art conceptuel. Il déambule dans l’univers abstrait de nos chroniqueurs d’arts et se souvient du temps quand le peintre peignait et que le sculpteur sculptait sans discours moralisateur et sémiologique. Le dessin, la peinture et la sculpture parlaient le langage de la matière transformée par l’artiste pour le plaisir des yeux, du coeur et de la tête.
Il cherche encore la poésie dans l’art visuel, la passion et la liberté des peintres qui font renaître à chaque époque un nouveau conte.
Il peint encore des abstraits figuratifs ou des figuratifs abstraits selon son humeur et la couleur des jours. Il peint les subtilités des verts qui dominent juillet quand le temp est trop propre avec ses pluies quotidiennes.
Il cause avec ses rêves et explore leur contenu qui guide sa main vers des lieux inconnus et les couleurs naissent aux méandres des droites afin que le temps s’arrête et que le tableau s’exprime. Il est de race de passion que le temps forge avec plaisir.
Chemin
imprévisible, illusion tactile d’un éphémère passage de l’homme
nouveau, d’héritage ancien, que le temps compresse à la lueur d’un
ciel morose d’une québécitude cloisonnée aux murmures des académiciens
engourdis dans le chevauchement des illusions d’un savoir faire faire,
aussi bien que faire taire !
Il a oublié le verbe dans les couleurs des tableaux récents. Les mots pour lire, pour dire, pour décrire les espaces picturaux que la poésie exprime dans sa quête d’images.